Au sein des vignobles de la Maison Wolfberger, en Alsace, le coup d’envoi des vendanges 2020 a été donné hier matin, mercredi 26 août 2020. Après les AOC Crémants d’Alsace, ce sera au tour des raisins des vins tranquilles d’être récoltés. Les Grands Crus clôtureront cette saison autour de la mi-septembre, selon leur degré de maturité.
Très attendues chaque année, les vendanges s’étalent sur plusieurs semaines, en débutant par la récolte manuelle des iconiques AOC Crémants d’Alsace.
Elles se poursuivent par la cueillette des raisins destinés aux vins tranquilles début septembre ; avant de se terminer par les Grands Crus mi-septembre selon l’évolution et la maturité des raisins.
La récolte est amenée sur 4 vendangeoirs : Orschwihr, Eguisheim, Colmar et Dambach-la-Ville selon un planning quotidien très précis en fonction des cépages, des parcelles, des terroirs et des typicités des jus attendus. Le pressurage démarre aussitôt puis la vinification des jus s’effectue sur trois3 sites : Colmar pour le Crémant, Eguisheim et Dambach-la-Ville pour les vins et Eguisheim pour le Bio, les Grands Crus et les Vendanges Tardives.
Les vendanges d’une coopérative engagée
Depuis sa naissance en 1902, Wolfberger a toujours joué un rôle majeur dans l’évolution du vignoble alsacien, poursuivant inlassablement sa quête d’excellence et d’authenticité.
Composée de 360 vignerons-adhérents, Wolfberger est certifiée agri-confiance depuis presque 10 ans et désormais HVE 3 (75% des surfaces d’ici fin 2020).
Cette maison coopérative attache beaucoup d’importance au développement d’une viticulture plus saine et durable. Et suit notamment une viticulture raisonnée sur l’ensemble de ses 1300 hectares de vignoble.
Elle est la seule entreprise vinicole du monde à être certifiée à la fois ISO 22000 et ISO 50001 : une preuve du travail pionnier, des préoccupations environnementales et des pratiques durables de la société à tous les niveaux.
Aujourd’hui, plus que jamais volontariste, Wolfberger assume de s’engager sur une troisième voie de viticulture durable qui repose sur de vrais choix techniques et rigoureux, s’affranchissant des idées reçues : utilisation de stations météos sophistiquées, biocontrôles, essais de robots enjambeurs autonomes, alternatives aux désherbants et insecticides, utilisation d’engrais verts sur plusieurs parcelles, pratique de la viticulture de conservation…
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