LE GRAND DICTIONNAIRE DES CUISINIERS Tome 2

« La cuisine est amour et générosité » professe Paul Bocuse. « La cuisine est l’art de transformer instantanément en joie des produits chargés d’histoire » complète Guy Savoy. Marchands de bonheur : c’est ainsi que l’on peut qualifier les cuisiniers et les cuisinières qui s’attachent à rendre heureux leurs contemporains. Voilà le fil conducteur de ce Grand Dictionnaire qui, de 1900 à nos jours et à travers un millier de biographies originales, recense tous ceux et celles qui ont, au fil des années, à travers leur travail dans des restaurants étoilés ou plus modestes, placé la cuisine française au sommet en appliquant la ligne de conduite de Prosper Montagné qui affirmait que « l’on ne fait du bon qu’avec du très bon ». Une oeuvre signée par Jean-François Mesplède auteur du Tome 1 et préfacée par Pierre Gagnaire. Disponible le 15 octobre 2015.

 


LE GRAND DICTIONNAIRE DES CUISINIERS  Tome 2

LE GRAND DICTIONNAIRE DES CUISINIERS Tome 2
Des parcours d’hommes et de femmes donc. Mais aussi des anecdotes inédites autour de la cuisine, le palmarès des principaux concours (Bocuse d’Or, Meilleur Ouvrier de France entre autres). Et le regard de femmes sur leur cuisinier de mari. Au fil des pages, plus d’un siècle d’histoire. Et d’histoires…

LE GRAND DICTIONNAIRE DES CUISINIERS 
de Jean-François Mesplède
Édité et distribué par Page d’Écriture

Préface de Pierre Gagnaire
Format 26.5 X 20
928 pages illustrées
Prix de vente public : 54.50 €
Disponible le 15 octobre 2015

www.dictionnaire-des-cuisiniers.com


Jean-François Mesplede et Paul Bocuse

Jean-François Mesplede et Paul Bocuse
Toulousain de naissance mais Lyonnais de coeur, Jean-François Mesplède s’est passionné pour l’art culinaire depuis sa rencontre avec Paul Bocuse « monstre sacré de la cuisine » qui a donné une vraie dimension au métier de cuisinier et avec Michel Roth un fidèle disciple de « Monsieur Paul » qui peut revendiquer le statut de chef le plus titré du monde.

Après avoir dirigé pendant quelques années et à l’initiative d’Édouard Michelin, le célèbre Guide Michelin France, il se consacré désormais à l’écriture. “J’ai toujours été persuadé que, dans la vie, il y a des moments de chance. À saisir. Ma chance, professionnellement, a été double. C’est d’abord la rencontre avec Paul BOCUSE auprès j’ai découvert l’univers jusqu’alors inconnu de la gastronomie. C’est auprès de lui que j’ai compris que, selon sa belle expression, la cuisine est, avant tout, « amour et générosité ». C’est ensuite celle d’Édouard MICHELIN, trop tôt disparu. Il a eu l’audace de confier à un journaliste la responsabilité du prestigieux Guide qui porte son nom et que j’ai eu plaisir à diriger pour la France pendant quelques années. Là, au fil des kilomètres parcourus sur les routes, que de découvertes, de rencontres et d’amitiés nouées. Certaines éphémères. D’autres plus solides et durables. Depuis plus d’un quart de siècle, je vis au rythme d’une nouvelle passion : la cuisine. C’est pour cela qu’après quelques ouvrages sur le sujet, j’ai voulu en réaliser un dernier, ce GRAND DICTIONNAIRE DES CUISINIERS que vous avez entre les mains et qui, à travers biographies et anecdotes dresse le portrait de toutes celles et ceux qui ont, pendant plus d’un siècle, porté la cuisine française au sommet. En pensant quotidiennement à tous ceux qui ont croisé ma route. Toujours là ou partis cuisiner ailleurs. J’ai bien connu certains « héros » de ce livre. Mais pour bon nombre d’entre eux, ils n’étaient déjà plus là. Et si j’ai pu raconter leur parcours, c’est le son de leur voix qui me manquera… En particulier, celle d’Eugénie BRAZIER « qu’on entendait gueuler le soir au col de la Luère», et celle de Fernand POINT « le magnifique » pour ne parler que de ces deux « monstres sacrés ». Mais j’ai toujours en mémoire des paroles d’Alain CHAPEL, de Jacques PIC ou de Bernard LOISEAU qui ont laissé pantois leurs amis à partir si tôt. Je n’ai pas ici la prétention d’être exhaustif sur le sujet. De même que je n’ai jamais revendiqué le titre d’écrivain mais plutôt de « raconteur d’histoires ». Ces histoires que je vous invite à découvrir, au hasard de vos envies, en picorant comme au début d’un repas avant de passer carrément à table. Je ne peux que vous souhaite bonne lecture. Et, je l’espère, belles découvertes…”

La Mère Brazier à Lyon puis au col de la Luère dans le Rhône © Page d’Ecriture

La Mère Brazier à Lyon puis au col de la Luère dans le Rhône © Page d’Ecriture