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« La Hache », datant de 1257, est connue pour être une des plus anciennes winstubs de Strasbourg. Reprise et entièrement rénovée en 2012 par Jérôme Fricker et Gilles Egloff, l’institution propose des recettes familiales, authentiques, gourmandes et réconfortantes. Pendant, tout le confinement, le chef Alexandre Haudenschild vous a régalé avec de jolis menus à emporter. A présent, (depuis le 4 juin 2020) il temps de profiter du restaurant et de son accueil chaleureux. Quel réconfort pour le palais de savourer de recettes classiques, celles de « grand-mère » dressées comme à la maison, mais aussi des plats canailles et charcutiers sublimés par la technique du cuisinier, sans oublier les créations « végé » et les desserts, régressifs à souhait.
“C’est la main du cuisinier qui rend un plat simple, excellent !”
Ouverte de midi à minuit, la cuisine « faite maison » (sauf le pain et les glaces) est assurée par trois chefs, sous la houlette d’Alexandre Haudenschild.
« Notre force c’est de servir en continu de très beaux plats bistronomiques avec une dernière commande prise à minuit », mentionne Hicham Saouin, le responsable d’exploitation. « Le restaurant ferme à 1h30, ce qui permet à de nombreux clients de venir diner après un match du Racing, de la SIG, sortant du théâtre, d’un concert ou d’une séance de cinéma ». Très courue des Strasbourgeois, « La Hache » propose des plats comme le pithiviers, le pâté en croûte ou la désormais célèbre saucisse-purée.
« J’aime réinterpréter les grands classiques que je « twiste », explique le chef, apportant quelques grammes de modernité et de surprise. « Avec mes seconds de cuisine, Mathieu Brzustowski et Clément Fessel, nous aimons étonner les clients dans le bon et le beau. La surprise est la première émotion.
À la belle saison, je dresse une tomate-mozza qui conjugue l’esprit de deux classiques : la tomate farcie et la tomate-mozza traditionnelle. Cette recette a été créée avec la collaboration de Thibaut Dimmer, maraîcher en agriculture raisonnée installé à Kolbsheim. Il nous fournit 200 kg de pommes de terre par semaine pour réaliser les purées, les frites et les pommes-paille. Les œufs mimosa sont surmontés de dés de chorizo, saumon ou œufs de poisson. L’œuf agrémenté d’une poêlée de champignons et siphon de pomme de terre, devient irrésistible. Il est tarifé à 7 €.
L’identité culinaire du restaurant « La Hache » est bistronomique, conjuguant des recettes « simples » et « canailles » avec des techniques modernes (cuisson sous-vide par exemple). Plats et menus sont proposés à des prix très accessibles. « Cuisiner est un métier », rappelle le chef. « On cherche l’assaisonnement parfait, la juste cuisson et l’équilibre dans la recette. Puis le dressage rend beau ce qui est d’apparence simple ».
À « La Hache », dès votre arrivée, la bonne humeur d’Hicham donne le ton du service. « Nous avons une belle complicité en échangeant sur les appréciations des clients, car c’est pour eux, avant tout, que nous cuisinons. Nous proposons des plats « végé » bien travaillés et gourmands, comme la galette de boulgour servie avec un velouté de carotte-cumin, mâche, et copeaux de carotte, le tout agrémenté d’une vinaigrette à l’orange, ou le feuilleté croustillant de chèvre et ses épinards ».
« La Hache », c’est toute une histoire !
Les bonnes résolutions se sont irrémédiablement envolées. Mais, ne dit-on pas « le meilleur moyen de se délivrer d’une tentation est d’y céder » ? (O. Wilde)Par Sandrine Kauffer-Binz
Crédit photos ©Sandrine Kauffer-Binz et ©La Hache
Restaurant « La Hache »
11, rue de la Douane
67000 Strasbourg
03 88 32 34 32
www.la-hache.com
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