Boubalé, le nouveau restaurant Ashkénaze du Chef étoilé israélien Assaf Granit

Niché dans l’hôtel Le Grand Mazarin, première adresse parisienne de Maisons Pariente à l’angle de la rue des Archives et de la rue de la Verrerie, le restaurant Boubalé est un lieu multifacettes, éclectique, qui parle au cœur, à l’âme et aux sens.

Quoi de plus fort et de plus inestimable que l’amour d’une grand-mère ? Boubalé est le petit nom tendre pour dire « ma petite poupée, ma petite chérie » en yiddish, expression favorite des grands-mères ashkénazes. Toute l’âme de Boubalé est là, magnifiée par le Chef étoilé israélien Assaf Granit.

Douze restaurants à Jérusalem, sa ville natale, un à Londres et cinq à Paris, dont un étoilé, Shabour… Figure iconique de la nouvelle cuisine israélienne, le Chef Assaf Granit a fait exploser les conformismes culinaires du Moyen-Orient et de l’Europe de l’Est pour créer son propre mix de saveurs, compilant le meilleur des deux mondes. Pur reflet de son histoire familiale. Ses créations mêlent réminiscences orientales et classiques polonais dans un irrésistible bazar gourmand, exercice de haute voltige que seul un virtuose de la cuisine peut oser. Le tout sublimé par un enthousiasme communicatif, signature de toutes ses adresses dans le monde. Boubalé occupe une place à part dans son cœur, voyage émouvant vers ses origines.

De Pologne, de Russie, d’Allemagne, de Géorgie, de Lituanie, d’Ukraine, les grands-mères ashkénazes ont fait le voyage. Arrivées en Israël, elles ont partagé leurs recettes avec leurs voisines, venues du Maroc ou de Syrie, d’Irak ou d’ailleurs. C’est ainsi que la cuisine vit. C’est ainsi que les différences se transforment en vraie richesse. Boubalé c’est toute cette mémoire qui revit et écrit un nouveau chapitre de son odyssée.

Pour Boubalé, le Chef étoilé Assaf Granit rend hommage à ses souvenirs d’enfance, à son héritage et à cette tradition familiale, fidèlement perpétuée au fil des siècles. À son tour, il a voulu apporter un supplément de créativité raffinée et de gourmandise à une cuisine qui vient du plus profond de l’âme. Alors Boubalé ose l’improbable : redonner une sensualité contemporaine à des spécialités réputées austères, par la seule force de la mémoire et du talent. Le menu ose mettre à l’honneur les plats mythiques de la cuisine ashkénaze modeste et si méconnue. Oui, il en fallait de l’audace pour la rendre sexy et glamour! Boubalé relève le défi de lui rendre ses lettres de noblesse, enfin. Un voyage gastronomique en terre inconnue, qui vous transporte de joie, avec l’ivresse des premières fois. Boubalé réinvente la cuisine ashkénaze en couleur comme personne ne l’a jamais vue, avec un coefficient de désirabilité maximum. Irrésistible !

Boubalé raconte cette belle histoire d’amour qui passe par la cuisine depuis la nuit des temps. Une histoire qui a commencé aux confins de l’Europe de l’Est, a voyagé jusqu’à Jérusalem avant de faire escale à Paris, dans le Marais. Sans perdre l’essentiel, le goût du partage. Boubalé vous prend par les sentiments et vous emmène vivre une expérience inoubliable sur les traces d’une culture ashkénaze méconnue, virevoltante comme un air de violon, légère comme une fête improvisée entre amis. Boubalé, c’est le nouveau cœur battant du Marais, un cœur battant au rythme fou de la joie de vivre et du bonheur de partager de vraies émotions. Plus qu’un restaurant, un lieu dédié au plaisir d’être ensemble avant tout.

Boubalé fait revivre l’exubérance flamboyante des datchas, la folie douce d’un lieu secret où tourbillonnent les traditions mystérieuses d’un monde insoupçonné. Le cristal des verres gravés à la main allume des étincelles dans les yeux, le velours opulent danse avec les fresques des plafonds, la porcelaine délicate dessinée sur mesure valse avec l’argenterie nostalgique. Le baroque et la fantaisie se mélangent, le décor intimiste exalte une élégance émouvante. Le temps n’existe plus. Reste le plaisir de s’ouvrir aux autres, de partager la grâce de l’instant, le sens de la fête, immémorial. Quelques notes de musique suffisent à transporter les cœurs et comme toujours depuis la nuit des temps, tout dîner digne de ce nom se termine en dansant autour des tables.