Zola à Paris entre gastronomie italienne et littérature

Début janvier 2020, un nouveau restaurant italien a ouvert à Paris au numéro 62 du mythique Passage des Panoramas, un passage

ZOLA en néons rouges, l’addition glissée en guise de marque page dans le livre « Nana » d’Émile Zola et enfin je comprends le lien entre le nom, le lieu, mais pas avec les pizza à moins que Nana fut férue de gastronomie italienne.

L’escalier qui dirige vers la caveau, permet d’admirer la collection d’ouvrages du grand écrivain, auteur de Germinal, l’Assommoir ou encore Nana qui justement empruntait ce passage quand elle jouait au théâtre des variétés, juste en face. Encore un peu de culture .. Le chapitre VII du roman Nana d’Émile Zola, décrit le passage, tel qu’il était en 1867.

Enfin le chef-d’œuvre la table d’hôte végétale pour 6 à 10 personnes.

Hors du temps, sorte de grotte verdoyante, habillée de bleu Majorelle pour y déguster des Antipasti, fromages et charcuteries en planche, à la portion ou même au kilo, pâtes courtes ou longues al dente, et des pizzas réalisées dans les règles de l’art et cuites dans un four à pizza couleur Gold (en mosaïque) à voir dès l’entrée

Tomettes terracotta au sol, murs en béton ciré, assiettes Kapka psychédéliques ou encore murs flanqués de néons coquillettes, avec d’immenses mains dessinées, Fernandel, en Don Camillo qui dévore des pasta.

Pizza Truffes Zola Paris ©Sandrine Kauffer.
morto formaggi Zola Paris ©Sandrine Kauffer.

Antipasti, fromages et charcuterie en planche, à la portion ou même au kilo, pâtes courtes ou longues al dente, et des pizzas réalisées dans les règles de l’art et cuites dans le four à pizza couleur Gold.

Pour les desserts, grande hésitation entre la calzone nutella ou les bombes au chocolat, qui explosent littéralement d’or noir chocolaté… à consommer avec modération

Par Sandrine Kauffer

les bombes au chocolat Zola Paris ©Sandrine Kauffer

ZOLA !

62 passage des Panoramas 75002 Paris
Ouvert 7j/7 – Sans Réservation

la table d’hotes pour 6 à 10 personnes Zola Paris ©Sandrine Kauffer.